Inspiré de la vie d’un « monstre sacré », Kurt Cobain et du mythe d’Icare, ce projet raconte un nouveau conte, celui de K., un jeune musicien mondialement connu arrivé à un point de rupture. Après s’être échappé d’une énième cure de désintoxication, il s’enferme dans sa grande maison labyrinthique pour revenir à l’essentiel : créer le plus beau morceau du monde. Dans son délire, il rejoue sa vie accompagné de son ami imaginaire Boddah et se voit troublé par les visions de Love, son amoureuse. Ce qui devait être une retraite de trois jours se transforme en un cauchemar mythique, plongeant K. encore plus profondément dans les abysses de son imagination.

Durée : 1h15

NOTE DE MISE EN SCÈNE

Dans cette mise en scène, l’espace se veut l’écho du Labyrinthe de K. La compagnie a imaginé des corps, perdus dans un désert mythologique, avec des corridors menant à des apparitions inattendues. Les compositions musicales seront comme le reflet de l’âme de K., ses silences et ses cris. Kurt Cobain et Icare, nous savons bien comment ces histoires s’achèvent, ce que nous souhaitons montrer, c’est l’attente, le moment suspendu où nous observons K. approcher de son propre précipice.

LA COMPAGNIE